Le mouvement est ce qui nous organise et, en même temps, ce que nous organisons. En mouvement, nous construisons un féminisme anticapitaliste et antiraciste et nous créons des synthèses collectives, nous changeons le présent et nous indiquons des voies pour l’avenir.
Les propositions anti-démocratiques et néolibérales du président Nayib Bukele sont rejetées au sein des grandes marches populaires. Lisez le récit de la militante Ana Isabel López